
Meilleur matador de toros : Sergio Aguilar
Meilleur novillero : Juan del Alamo
Meilleur lot de toros (à égalité et dans trois registres différents) : Manuel Assunçao Coïmbra du 11 juillet à Céret, Fuente Ymbro du 19 juillet à Mont-de-Marsan, Ana Romero du 8 août à Bayonne
Meilleur lot de novillos : “Flor de Jara” du 30 mai à Vic-Fezensac (Mention aux Joaquín Moreno de Silva du 22 août à Carcassonne)
Meilleur toro : “Clavel Blanco” n°38 negro 610 kg (né en septembre 2004) de la ganadería María Luisa Domínguez Pérez de Vargas, combattu par le matador Domingo López-Chaves lors de la corrida-concours d’Arles le 11 septembre
Meilleur novillo : “Diano” n°5 negro entrepelado bragado de la ganadería Joaquín Moreno de Silva, combattu par le novillero Moreno Muñoz le 22 août à Carcassonne
Meilleure faena : Sergio Aguilar face au cinquième Fuente Ymbro le 19 juillet à Mont-de-Marsan
Meilleur tercio de piques : Rafael López pour sa prestation face au toro de Prieto de la Cal lors de la corrida-concours d’Arles
Prix à la placita : Carcassonne
Ovations (dans le désordre) :
- A José Pedro Prados « El Fundi » pour ne jamais avoir baissé les bras dans des moments très difficiles.
- A Luis Francisco Esplá pour l’ensemble de sa carrière.
- A Camarito de Palha combattu lors de la corrida-concours de Vic-Fezensac.
- A Aguardentero de Prieto de la Cal combattu lors de la corrida-concours d’Arles.
- Au novillo Chinchoso de Flor de Jara combattu en quatrième position à Vic-Fezensac.
- Au lot de Dolores Aguirre d’Alès.
- Aux lots de novillos de Joselito à Garlin, Escolar Gil à Saint-Sever, Adolfo Martín à Dax et Baltasar Ibán à Mont-de-Marsan.
- A l’équipe médicale de Carcassonne.
- A la tenue de la corrida-concours d’Arles.
- A l’Association des Aficionados de Parentis pour l’organisation et la tenue de leur novillada-concours.
- Au picador « El Pimpi » pour l’ensemble de sa saison.
- A la famille Yonnet.
- A Alain Bonijol.
- A Saint-Perdon.
- A Orthez et aux arènes qui luttent dans l’optique d’une programmation originale et authentique.
- Aux matadors : Alberto Aguilar, David Mora, Diego Urdiales, Luis Bolívar, Morenito de Aranda, Paco Ureña, Rafaelillo, Raúl Velasco, Sébastien Castella.
- Aux novilleros : “Califa de Aragua”, Daniel Martín, Juan Carlos Rey, Mario Diéguez et Thomas Joubert “Tomasito”.
Pitos (dans le désordre) :
- A Juan Pedro Domecq pour l’ensemble de son œuvre.
- A Simon Casas et à la ville de Nîmes pour l’ensemble de leur œuvre.
- Aux organisateurs de Palavas-les-Flots.
- A Román Pérez pour l’ensemble de son œuvre.
- Au président de l’Observatoire pour ses trop fréquents changements de veste.
- A l’escalafón novilleril composé en trop grande partie de novilleros conformistes et sans personnalité.
- A Ismael González de la cuadrilla de Juan Bautista pour son manque de respect envers le taureau de combat.
- Aux taurinos qui insultent les présidents de courses tentant de faire front au populisme ambiant.
- A Béziers pour sa temporada.
- A Dax pour sa temporada et son originalité toujours plus frappante dans le choix des lots.
- A la famille Leal pour la pantalonnade offerte le jour des Miuras à Carcassonne.
- A Juan José Padilla pour une blessure douteuse qui ne l’empêcha pas de toréer en pleine possession de ses moyens trois jours plus tard.
- A la sous-afición qui se délecte de « parodies de tauromachie ».
- Aux Zalduendos de Nîmes et Mont-de-Marsan.
- A Francisco Javier Sánchez Vara.
- Aux présidences laxistes.
- Au manque de professionnalisme parfois à la limite de l’acceptable.
- A Carlos Guzmán pour sa pléthorique prestation parentissoise.
- A Miguel Angel Perera et à tous les apôtres du « destoreo ».
- A Julio Aparicio pour sa prestation dacquoise.
Meilleur novillero : Juan del Alamo
Meilleur lot de toros (à égalité et dans trois registres différents) : Manuel Assunçao Coïmbra du 11 juillet à Céret, Fuente Ymbro du 19 juillet à Mont-de-Marsan, Ana Romero du 8 août à Bayonne
Meilleur lot de novillos : “Flor de Jara” du 30 mai à Vic-Fezensac (Mention aux Joaquín Moreno de Silva du 22 août à Carcassonne)
Meilleur toro : “Clavel Blanco” n°38 negro 610 kg (né en septembre 2004) de la ganadería María Luisa Domínguez Pérez de Vargas, combattu par le matador Domingo López-Chaves lors de la corrida-concours d’Arles le 11 septembre
Meilleur novillo : “Diano” n°5 negro entrepelado bragado de la ganadería Joaquín Moreno de Silva, combattu par le novillero Moreno Muñoz le 22 août à Carcassonne
Meilleure faena : Sergio Aguilar face au cinquième Fuente Ymbro le 19 juillet à Mont-de-Marsan
Meilleur tercio de piques : Rafael López pour sa prestation face au toro de Prieto de la Cal lors de la corrida-concours d’Arles
Prix à la placita : Carcassonne
Ovations (dans le désordre) :
- A José Pedro Prados « El Fundi » pour ne jamais avoir baissé les bras dans des moments très difficiles.
- A Luis Francisco Esplá pour l’ensemble de sa carrière.
- A Camarito de Palha combattu lors de la corrida-concours de Vic-Fezensac.
- A Aguardentero de Prieto de la Cal combattu lors de la corrida-concours d’Arles.
- Au novillo Chinchoso de Flor de Jara combattu en quatrième position à Vic-Fezensac.
- Au lot de Dolores Aguirre d’Alès.
- Aux lots de novillos de Joselito à Garlin, Escolar Gil à Saint-Sever, Adolfo Martín à Dax et Baltasar Ibán à Mont-de-Marsan.
- A l’équipe médicale de Carcassonne.
- A la tenue de la corrida-concours d’Arles.
- A l’Association des Aficionados de Parentis pour l’organisation et la tenue de leur novillada-concours.
- Au picador « El Pimpi » pour l’ensemble de sa saison.
- A la famille Yonnet.
- A Alain Bonijol.
- A Saint-Perdon.
- A Orthez et aux arènes qui luttent dans l’optique d’une programmation originale et authentique.
- Aux matadors : Alberto Aguilar, David Mora, Diego Urdiales, Luis Bolívar, Morenito de Aranda, Paco Ureña, Rafaelillo, Raúl Velasco, Sébastien Castella.
- Aux novilleros : “Califa de Aragua”, Daniel Martín, Juan Carlos Rey, Mario Diéguez et Thomas Joubert “Tomasito”.
Pitos (dans le désordre) :
- A Juan Pedro Domecq pour l’ensemble de son œuvre.
- A Simon Casas et à la ville de Nîmes pour l’ensemble de leur œuvre.
- Aux organisateurs de Palavas-les-Flots.
- A Román Pérez pour l’ensemble de son œuvre.
- Au président de l’Observatoire pour ses trop fréquents changements de veste.
- A l’escalafón novilleril composé en trop grande partie de novilleros conformistes et sans personnalité.
- A Ismael González de la cuadrilla de Juan Bautista pour son manque de respect envers le taureau de combat.
- Aux taurinos qui insultent les présidents de courses tentant de faire front au populisme ambiant.
- A Béziers pour sa temporada.
- A Dax pour sa temporada et son originalité toujours plus frappante dans le choix des lots.
- A la famille Leal pour la pantalonnade offerte le jour des Miuras à Carcassonne.
- A Juan José Padilla pour une blessure douteuse qui ne l’empêcha pas de toréer en pleine possession de ses moyens trois jours plus tard.
- A la sous-afición qui se délecte de « parodies de tauromachie ».
- Aux Zalduendos de Nîmes et Mont-de-Marsan.
- A Francisco Javier Sánchez Vara.
- Aux présidences laxistes.
- Au manque de professionnalisme parfois à la limite de l’acceptable.
- A Carlos Guzmán pour sa pléthorique prestation parentissoise.
- A Miguel Angel Perera et à tous les apôtres du « destoreo ».
- A Julio Aparicio pour sa prestation dacquoise.
- A la cabale menée contre Orthez.